Que s’est-il passé à Montreux-Vieux un 18 février ?

Une pensée pour :

  • Monsieur Christian Schirch, décédé le 18 février 2013.

Le commissaire Allemand relevé de ses fonctions.

18 février 1889 Le commissaire allemand à la gare de Montreux-Vieux. M. Heynemanfi, a été relevé de ses fonctions et envoyé à Metz. Il provoquait tous les jours de nouveaux incidents par sa raideur dans l’application du règlement sur les passeports. Il est remplacé à Montreux par M. Witwer, le commissaire de Novéant .Sources : Le XIX siècle 18 février 1889


Naissance de Schott Emile.

18 février 1903 Naissance de Schott Emile, président du foot et sapeur pompier. https://montreux-vieux.net/?page_id=18229


Mise au gabarit du canal.

Le 18 février 1919, M. Cels, sous-secrétaire d’Etat, ordonnait de mettre au gabarit normal la partie  de la voie comprise entre Montreux-Vieux et la Saône.


Le gel en février 1978.

Les 18 et 19 février 1978 Montreux-Vieux et le Sundgau étaient pris dans la glace.

La situation était catastrophique, il y avait des perturbations partout (électricité, téléphone, routes, eau et forêts dévastées .Une situation catastrophique sans précédent en raison de l’épaisse couche de glace qui maintenait son emprise sur toute chose. Les arbres étaient cassés, les cimes mutilées les fils téléphoniques et électriques sectionnés les poteaux cassés, et renversés. Les pauvres forêts dévastées et en certains endroits ce sont des visions de lendemain de bataille…En face du cimetière la ligne basse tension avec les poteaux en béton était arrachée et à terre. Il n’y avait plus d’eau potable durant 8 jours, l’armée ravitaillait le village avec des camions citernes. Faute d’électricité, les agriculteurs ne pouvaient plus traire leurs vaches, les congélateurs étaient hors services. La route constituait un danger permanent dès que l’on passait près d’un arbre. Les troncs et les branches s’abattaient sans cesse dans des fracas épouvantables cédant sous des tonnes de glace. Les services de l’Equipement n’avaient plus assez de panneaux pour signaler les déviations. Durant une semaine partout, les pompiers, bûcherons, les personnels de l’EDF, des PTT, de l’ONF étaient sur la brèche sans répit jour et nuit. Les oiseaux d’habitude en forêts étaient figés sans réaction sur les routes.

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