La Religion

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Montreux-Vieux était indépendant et dépendait des Bénédictins de l’Abba4ye de Valdieu depuis 1260 et aux Jésuites de Valdieu, de St Morand et d’ Ensisheim à partir de 1636.

Le 11 décembre 1819 le Conseil Municipal décide de donner 4 stères de bois de chauffage au Curé.

Le 10 août 1822 le Conseil Municipal décide d’achter un fourneau pour le desservant M. Gully.

Le 14 mars 1824 pour la construction d’un presbytère la commune vend un terrain pour environ 2 970F . Une partie de celui-ci se situe dans le réservoir du Canal Monsieur.

Le 17 mai 1824 Les matériaux de l’ancien presbytère ont été vendus par adjudication publique sauf quelques pièrres qui seront employées à la construction d’une maison curiale.

Le 27 mai 1824 le Conseil Municipal décide de verser un supplément de traitement de 300 F au Vicaire Stahl  notre digne curé.

Le 16 avril 1828 une nouvelle recette est inscrite au budget pour la construction du presbytère de 2 280F financée par la cession de terrain et la vente de bois.

 Le 16 avril 1828  une nouvelle coupe de bois d’un montant de 6 060 F est décidée pour financer la construction du presbytère.

Le 9 février 1829 Lea commune propose à l’administration un nouveau plan de financement du presbytère s’élevant à 7 080F par la vente et la location de terrains.

Le 16 mars 1830 d’autres moyens sont proposés au Préfet pour la construction du presbytère :

  • La vente de 40 ares de pré lieu-dit “Au Baitay” délimité de levant et midi par la rivière et plusieurs particuliers de minuit estimé à la somme de 1 200 F
  • La cession de 16 ares de champs lieu-dit “Les Planches du Breuleux” profond de midi par Henri Cuenin et jeune et Henri Schalie de minuit estimé à 350F
  • La vente d’environ 5 ares de terrain lieu-dit “Les Planches” enclavé entre le chemin communal de levant à midi André Greber et couchant Gaspard Denis Jolidon de minuit estimé à 156 F.

Le montant total s’élève à 1 706 F plus 4 221 F en caisse  et lire: qui devraient suffire pour la construction d’un “médiocre” presbytère selon nos petits moyens.

Le 3 mars 1831 Le Conseil Municipal délibère sur l’acquisition d’une maison appartenant au sieur Jean Baptise Roy et à sa femme, domiciliés dans la commune de Réchésy. La proposition est convenable pour le logement d’un desservant, L’immeuble des construit en très bon bois de chêne et torchie. Le maire est chargé de l’acquisition et sera indemnisé pour ses dépenses et voyages.

Le 10 avril 1832 Le maire est autorisé à inscrire au budget de 1832 un crédit de 1 405.16F pour la construction de la maison curiale

Le 19 octobre 1833 Décès du père Genevois. L’allocation qui lui était attribuée est versée pour des réparations de la Sous-Préfecture de Belfort.

Le 10 février 1834 M. Jacques Kuen de Massevaux est désigné par le Conseil Municipal pour la reconstruction du bâtiment destiné au présbytère

Le 6 mai 1839 Le Conseil Municipal a décidé d’acheter une nouvelle cloche de 400 kg, l’ancienne ne pouvant retentir dans toute la commune et produit des inconvénients pour les habitants les plus éloignés qui ne peuvent se rendre aux offices faute d’être préalablement averti par le son de la cloche

Le 2 mai 1840 Vu le zèle empressé qu’apporte notre desservant dans l’exercice de son ministère et le fruit merveilleux produit depuis l’époque qu’il administre la paroisse, le Conseil Municipal voulant et devant donner une preuve de satisfaction et de reconnaissance à Monsieur le Curé vote une crédit de 100F et sera maintenu dans les budgets suivants

Le 2 mai 1840 Pour régler les travaux de remplacement de diférents ornements à l’église le Conseil Municipal décide de couper 40 chênes du canton de la “Bryère” pour les exploiter.

Le 1er novembre 1840 le Conseil Municipal accorde au Curé la jouissance d’un pré lieu-dit “Betay” estimé à un revenu de 40F

Le 2 mai 1841 recouverture intégrale de l’église, du clocher, renouvellement à neuf des autels collatéraux usés de vétustés. Coût des travaux plus de 2 000F prévus par la coupe extraordinaire de 1ha 60 dans le “Haut Bois”

Le 28 novembre 1841 Les travaux de l’église sont effectués en partie par Martin Couttin doreur et peintre.

Ce n’est qu’après la Révolution le 12 juillet 1790 que furent créés les évêchés l’un à Colmar l’autre à Strasbourg. Les curés étaient alors élus par les fidèles. Après le Concordat de Napoléon I naissent les doyennés. En 1874 les paroisses incorporées à l’Empire Allemand restèrent à Strasbourg.Le 19 octobre 1833 Décès du père Genevois. L’allocation qui lui était attribuée est versée pour des réparations de la Sous-Préfecture de Belfort

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