La Belle époque

La Belle époque

Le nombre de commercants, artisans, etc. au 1er avril 1948 installés à Montreux-Vieux

Au 1er avril 1948, 43 commerces sont installés sur le territoire de la Commune dont : Ackermann Armand, restaurateur ; Dauphin Marie, restauratrice ; Flury Ernest, restaurateur ; Messinger Fernand, restaurateur ; Sutter René, boulangerie-épicerie ; Specht René, boulangerie-épicerie ; Dangel Emile fils, épicerie ; Braunstedter Paul, boucher ; Koehl Emile, boucher ; Sutter Marcel, grains et fourrages ; Barbier Ernest père, marchand de vin en gros ; Barbier Ernest fils, marchand de charbons ; Dietrich Alphonse, marchand de charbons ; Bittighoffer Joseph, coiffeur ; Messinger Fernand, coiffeur ; Brungart Achille, cordonnier ; Gimelli Emile, ferblantier ; Seiler Auguste, tailleur ; Sutter Xavier, menuisier ; Gutbrod Charles fils, menuisier ; Schnitzler Jérôme (Catté), entrepreneur en menuiserie ; Bosetti Victor, entrepreneur en maçonnerie ; Bonato Albin, entrepreneur en maçonnerie ; Maggi Abbondie, entrepreneur en peinture ; De Vittori Joseph, peintre ; Cuenin Emile, cinéma électrique ; Jeanne d’Arc, alimentation en gros ; Filature et Tissage, usine ; Huggenberger Théophile, maréchal-ferrant ; Limacher Martin, mécanicien pour auto ; Wininger Armand, mécanicien pour cycle ; Fermbach Albert, mécanicien pour cycles et motos ; Bloch Philibert, sellier ; Berchtold Lucie, couturière ; Boirgault Jean-Baptiste, horloger ; Wilhelm Marcel, électricien ; Bonato Joseph, entrepreneur en maçonnerie ; Bichmann Madeleine, restauratrice ; Schmerber Xavier, restaurateur, commerce forain ; Wilhelm Marcel, vente magasin électricité ; Fuhrer Jean-Claude, cabinet dentaire ; Thuet Robert, restaurateur.

Par rapport au passé et aux heures de gloire de la Belle Epoque, Montreux-Vieux a connu de profondes mutations.

La décadence la plus importante fut celle de la gare de SNCF locale. Autour des années 1960, tout trafic cessa sur la ligne de Foussemagne.

Avec la fermeture définitive des tuileries Clavey, on enleva même les rails.

Au fil des années, on vit des installations cesser de servir, comme par exemple les halles SNCF.

On assista au départ de Total, la CAVB, puis Mory, les Ets Hartmann et d’autres entreprises, à la fermeture de la boulangerie Specht, puis Sutter le 11-01-97, et d’autres commerces, comme la quincaillerie Gimelli.

En 1997, sur le plan industriel, il reste les Etablissements Filature et Tissage, qui emploient environ 40 salariés.

En matière commerciale, le centre de l’agglomération est très animée, tout d’abord avec la Supérette Sutter Unico, reprise le 1-1-97 par la SARL Brefie, l’épicerie mercerie Dangel, par le bureau de tabac et de presse Legroux

L’établissement bancaire (Crédit Mutuel) implanté dans un immeuble de conception moderne avec guichets automatiques, la pharmacie, le bureau de Poste.

A côté de ses établissements, l’artisanat est représenté par un ébéniste, un électricien, une coiffeuse, une entreprise de débardage, transport, etc…

S’y rajoutent les professions libérales, comme les médecins, le cabinet de Kinésithérapeutes et de pédicure, le cabinet dentaire, une société de services et d’ingénierie informatique.

3 réponses à La Belle époque

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