Arrestations. en juin 1888— Un ouvrier auquel une nuit n’avait pas suffi pour dissiper l’ivresse de la veille, prenait place ce matin dans un train d’ouvriers allant dans la direction de Montreux-Vieux. Il criait, chantait, hurlât à gorge déployée. On voulut lui imposer silence, mais haut, plus on le menaçait plus il enflait la voix. Fatiguée de cette musique, la police l’arrêta.
Sources : Express 13 juin 1888