19 avril 1827 Remplacement du Garde Champêtre Jean Claude Patat par Serre Joseph domicilié à Chaux ancien militaire retraité
Le choix du garde chasse se porte sur Charles Joseph Cuenin en remplacement de Poure François Xavier démissionnaire
Naissance de Birry Martin
19 avril 1906 Naissance de Birry Martin Bréchaumont, sapeur pompier
Organisation de la prévôté du Quartier Général
19 avril 1917 3 gradés et’ 12 gendarmes à cheval quittent Limoges, le,9 octobre 1915, à destination de Montreux-Vieux où est organisée la prévôté du Quartier général de la région fortifiée de Belfort.
A partir du 21 octobre 1916 la gendarmerie assure un service spécial de surveillance à la frontière Suisse. Les postes détachés en différents points rejoignent Montreux-Vieux le 19 avril 1917 http://montreux-vieux.net/?page_id=10839
18 avril 1894 Montreux- Vieux. — Le trafic des marchandises exige tous les jours la mise en circulation de trains spéciaux. La circulation des voyageurs est aussi très forte en ce montent
Le 16 avril 1828 une nouvelle recette est inscrite au budget pour la construction du presbytère de 2 280F financée par la cession de terrain et la vente de bois.Le 16 avril 1828 une nouvelle coupe de bois d’un montant de 6 060 F est décidée pour financer la construction du presbytère.
Excursion par train
Le jeudi 16 avril 1908 la Compagnie des Chemins de Fer de l’Est mettra en marche au départ de Paris pour Belfort et Montreux-Vieux un train spécial d’excursion à prix très réduit, composé de voiture 3è classe.
Ce train prendra des voyageurs pour certaines stations comprises entre Vendeuvre inclus et Montreux-Vieux. Le nombre de place est limité. Le prix des billets d’aller et retour dont la durée de validité est de dix jours, sont les suivants : pour Vendeuvre – Chaumont 11f pour Langres, Vesoul, Belfort, Petit Croix 16f50 pour Montreux-Vieux 16f80.Au retour les voyageurs seront admis à leur choix dans tous les trains ordinaires comportant des voitures de 3è classe, aux mêmes conditions que les voyageurs à plein tarif, dans la limite des places disponibles à chacun de ces trains. Les voyageurs devront être rentrés à Paris le 27 avril avant midi. Les bicyclettes sans moteur mécanique à l’exclusion des tandems, tricycles, etc. seront admises dans ce train d’excursion aux conditions qui figurent dans l’affiche spéciale ; le nombre de bicyclettes est limité à 50. Pour les autres renseignements, consulter les affiches et bulletins publiés par la compagnie des chemins de fer de l’Est
Inscriptions d’Entreprises au J.O.
16 avril 1924, Diverses entreprises figurent au Journal Officiel de la République Française en date du 16 avril 1924, numéro 8556. Un fabricant de boutons: Gustave Cuenin, un marchand de bois: Schott Hubert et un maitre peintre en bâtiment et commerçant: Abbondio Maggi. n marchand de bois à Montreux-Vieux. Il était inscrit au Journal Officiel de la République Française en date du 16 avril 1924, numéro 8556. Aujourd’hui Bischoff Thierry l’a remplacé sous l’enseigne « Allume feu ».
Anniversaire de la naissance de Jean Paul Brungart (16 avril 1925)
Le 13 avril, une date importante dans la vie du village. C’était à la sortie de la cérémonie religieuse des funérailles de Monsieur Brungart Jean Paul que le clocher de notre église a été décapité par la foudre ce 13 avril 1985. Ce jour là il y a avait du monde à l’église, Monsieur Jean Paul Brungart, bien connu était né à Montreux-Vieux le 16 avril 1925. C’était le cordonnier du village mais aussi sous-lieutenant des sapeurs-pompiers du Corps de Montreux-Vieux, adjoint au maire durant une période joueur de foot à Montreux-Sports. etc… Pour la petite histoire, pour avoir gravé « Vive la France » sur un banc près de l’orgue de l’église durant la guerre 1939 1945, Jean Paul Brungart, Fernand Mérian et Richard Braunstedter ont été enfermés quelques temps à la Kommandantur à Montreux-Vieux. Est-ce là un signe ? Jean Paul Brungart est le dernier à gauche sur la photo ci-dessous
Grand match de foot
16 avril 1933 GRAND MATCH INTERNATIONAL DE FOOT-BALI. : MONTREUX-SPORTS BAT F. FRIBOURG PAR 5 BUTS à 2.
C’est dimanche dernier 16 avril , que se déroulé à Montreux-Vieux ce match tant attendu par les sportif de toute la région. Après les échanges de fanions les équipes se préparent dans la formation suivante :
Fribourg : Gînt, arrières Hoger et Spobr : demis, Galio, Metzger et Steinsbrunner ; avants, IGermn. Roth. Schillinger. Knapp et Huenz.
Montreux-Sports : Barbier Ernest ; arrières :Schuliz et Ménétré Paut ; demis : Daller A„ Hastatt et Ménétré Joseph ; avants : Barbier Marcel. Schott Grosjean Marcel, Scherrer L. (cap.) et Schott François.
L’arbitre siffle le coup d’envoi à 2 h. 30 qui est donné par Fribourg. Le jeu est très vite et on assistât, pendant tout le match à des belles phases. Fribourg descend et l’ailier droit botte au but, mais le gardien arrête et se fait applaudir. C’est au tour de Montreux de se montrer dangereux et sur passe de l’aile droite Barbier, Scherrer marquera le premier but. Ceci encourage les joueurs et Fribourg est obligé à donner deux corners. Sur l’un d’eux l’inter droit, Schott marque le deuxième but. Fribourg est maintenant dominé, mais la défense se montre à la hauteur de sa tâche. Les visiteurs remontent le terrain perdu, mais ne parviennent pas à tromper la défense de Montreux-Vieux. Bien au contraire, un nouveau corner contre Fribourg permet à l’inter gauche de marquer un troisième but. Peu avant la mi-temps ce même joueur marquera un quatrième but. A la mi-temps : Montreux-Sports 4, F. C. Fribourg 0.
Après la reprise, Holbein remplace Schott G. Fribourg joue maintenant beaucoup mieux, ceci peut-être par l’avantage du vent. Sur une passe splendide de l’avant centre, l’extrême droit Gallo ouvre le score pour Fribourg. Mais à peine le centre est fait que toute la ligne de Montreux-Vieux descend et l’inter gauche monte le score à 5-1. Quelques minutes avant la fin. l’extrême droit de Fribourg s’échappe et inscrit un nouveau but. Finalement l’arbitre siffle la fin sur le score de 5-2 en faveur de Montreux-Vieux.
L’arbitre fut à la hauteur de sa tâche, bien qu’il ne siffla pas toutes les petites | fautes, que quelques spectateurs crurent bien faire en l’interpellant. Francis.
Mme Burkart Jeanne née Feyertag, décédée le 15 avril 2007.
Inutiles Exploits des Tauben
15 avril 1915 Inutiles Exploits des Tauben Bâle, 15 avril. — Un taube a opéré sur Dannemarie. Il a cherché à endommager par des bombes le grand viaduc du chemin de fer. Des bombes ont également été lancées sur Montreux-Vieux, mars les dégâts sont insignifiants. Sources : La Petite Gironde 16 avril 1915
Un motocycliste fait une chute grave
15 avril 1932 Montreux-Vieux. Un motocycliste fait une chute grave. — Le jeune A. R., demeurant à lllzach, a fait l’autre soir, vers 6 heures, une grave chute e motocyclette, prés du cimetière rie Montreux-Vieux. Le malheureux jeune homme avait perdu la maîtrise de sa machine et s’était jeté contre une borne kilométrique. On le releva souffrant de plusieurs fractures de côtes. Le motocycliste, qui le matin encore s’était vu dresser procès-verbal à Altkirch pour excès de vitesse, a été transporté a son domicile.
Sources : L’Express de Mulhouse 15 avril 1932
Grand anniversaire
Monsieur Picardat Michel fête aujourd’hui son 85 ème anniversaire. Joyeux anniversaire
Il y a un siècle une annonce dans Le Semeur, 18 avr. 1924, p. 4/4 l’arrivage des semences de pommes de terre à Montreux-Vieux.
Rattachement au 16e DI, le 14 avril du 2 e régiment de marche de tirailleurs marocains décoré de la Croix de guerre 1914-1918 avec 2 palmes. Fourragère aux couleurs de la croix de guerre (ordre 133 F du 4 novembre 1918 ; JO du 7 janvier 1919), remise le 8 novembre 1918 à Montreux-Vieux par le général de Castelnau, commandant le GAE.
Le 13 avril 1985 , une date importante dans la vie du village. C’était à la sortie de la cérémonie religieuse des funérailles de Monsieur Brungart Jean Paul que le clocher de notre église a été décapité par la foudre ce 13 avril 1985. Ce jour là il y a avait du monde à l’église, Monsieur Jean Paul Brungart, bien connu était né à Montreux-Vieux le 16 avril 1925. C’était le cordonnier du village mais aussi sous-lieutenant des sapeurs-pompiers du Corps de Montreux-Vieux, adjoint au maire durant une période joueur de foot à Montreux-Sports. etc… Pour la petite histoire, pour avoir gravé « Vive la France » sur un banc près de l’orgue de l’église durant la guerre 1939 1945, Jean Paul Brungart, Fernand Mérian et Richard Braunstedter ont été enfermés quelques temps à la Kommandantur à Montreux-Vieux. Est-ce là un signe ? Jean Paul Brungart est le premier à gauche sur la photo ci-dessous
Le 13 avril 1862 la commune est obligée de verser au Préfet la somme de 10 f pour le contingent des frais de nourriture des délinquants forestiers insolvables.
Le clocher de l’église décapité
13 avril 1985 Le clocher de l’église est décapité par la tornade
Le clocher décapité
La foule accompagnant la dépouille mortelle du sous-lieutenant des sapeurs-pompiers ; M. Jean-Paul Brungart, se trouvait au cimetière paroissial lorsqu’une véritable tornade, précédée par des coups de tonnerre violents éclata brusquement.
Les rafales de vent accompagnées de grêle déferlèrent sur le village, mutilant quelques arbres et arrachant quelques tuiles.
L’organiste, le professeur M. Pierrot Holbein, venait de quitter l’église après l’office religieux lorsqu’il vit brusquement la flèche de l’église osciller dangereusement, avant de se coucher, la croix en fer d’une hauteur de 4 m, se rabattant sur les ardoises du clocher, le paratonnerre restant le seul point d’attache fragile. Aussitôt, les pompiers sur place prirent les mesures d’urgence nécessaires, barrant la rue de l’Eglise, la croix se balançant dangereusement à 40 mètres du sol à chaque coup de vent, et risquant de se détacher à tout moment…
Le maire, averti, fit appel au capitaine Hartmann, inspecteur départemental adjoint des Services Incendie et de Secours, afin de trouver une échelle adéquate pouvant atteindre « l’objet volant ». Mais la plus grande échelle des sapeurs pompiers de Mulhouse n’atteignant que 36 mètres, ne pouvait pas convenir. L’affaire en resta donc là, toutes les précautions devant êtres prises, par les personnes se rendant aux offices, en longeant l’édifice pour atteindre l’entrée principale.
Une pensée pour :
Madame Callerant Jeanne née SCHNEKENBURGER, décédée le 13 avril 2020.
11 avril 1927 Le demandeur convoque la défenderesse à comparaître devant la première chambre civile du tribunal de première instance de Mulhouse, chambre 25, à l’audience publique du 11 avril 1927. à neuf heures du matin, avec la sommation de se faire représenter par un avocat inscrit au tableau dudit tribunal.
Cette sommation est faite aux fins de signiication par voie de notification publique.
Le greffier du tribunal de première instance. Signification publique.
Le sieur Aimé-Jules Lapre, employé de chemin de fer, demeurant. à Montreux-Vieux (Haut-Rhin), demandeur, représenté par Me Bir, avocat à Mulhouse, a intenté une demande en divorce contre la dame Aimé-Jules Lapre, née Elisabeth Gissinger demeurant de droit à Montreux-Vieux. actuellement sans domicile ni résidence connus, défenderesse, et demande à ce qu’il plaise au tribunal: 1° Prononcer le divorce d’entre les époux Lapre, aux torts et griefs exclusifs de la défenderesse ; 2° Ordonne que le jugement à intervenir sera transcrit sur les registres de l’état civil de la ville de Paris, 118 arrondissement, et que mention en sera faite sur l’acte de mariage des époux Lapre; 30 Commettre un huissier pour la signification à la défenderesse du jugement à inter- venir ; 4° Condamner la défenderesse en tous les dépens.
(IR 7/27). Mulhouse, le 15 février 1927. JO 20 février 1927
Le 10 avril 1832 le Conseil Municipal a décidé de mettre en culture par voie de fermage un terrain communal inculte situé entre la forêt dite “La Brière de levant “ et la chaussée de “La Grande Route de couchant” La longueur de celui-ci étant de 420 m sur environ 20 m de largeur.10-4-1910
Inscription d’un crédit pour le presbytère
Le 10 avril 1832 Le maire est autorisé à inscrire au budget de 1832 un crédit de 1 405.16F pour la construction de la maison curiale
Arrêt de wagons de munitions
10-4-1910 La douane allemande de Montreux-Vieux à arrêté sept wagons français de soixante cinq tonnes de munitions de guerre destinées à la Bulgarie.
L’affaire est soumise au gouvernement de Berlin qui est qualifié pour donner la permission de faire transiter ces marchandises.
09 avril 1916 Nouvelle visite du Président de la République. Il est arrivé en gare de Mx-Vx à 1h à 2h il était en mairie. Il a remis quelques décorations et repartit.Le Général Franchez d’Espérez commandant l’armée de l’Etat a passé la nuit au presbytère
9 avril 1916 : le président Raymond Poincaré et Léon Bourgeois à Montreux-Vieux.
(Résumé de cette visite à partir des Mémoires de Guerre de Poincaré par Daniel Lougnot)
Le dimanche 9 avril 1916, Léon Bourgeois[1] exprime le souhait d’accompagner le président de la République, Raymond Poincaré sur le front. Le chef de l’État ne veut pas lui refuser mais est inquiet de l’emmener en première ligne en raison de son état de santé. Il prépare un programme pour lui éviter trop de fatigue. Souffrant des reins et de la vessie, Bourgeois est soumis à un régime sévère, mais Poincaré apprécie sa compagnie et sa conversation. Ils quittent la gare de l’Est dans la soirée du samedi et arrivent à Belfort à 9 heures. Les généraux Étienne de Villaret et Georges Demange les attendent.
« Nous avons visité les lignes de défense de Belfort que Paul Doumer a trouvées récemment insuffisantes et qu’il a dénoncées comme telles à la commission sénatoriale. Derrière la première et la deuxième position, nous avons parcouru successivement les lignes B et A. Nous sommes revenus de Delle à Dannemarie où Bourgeois a pour la première fois, pris contact avec l’Alsace. Il était visiblement très ému. Notre arrivée n’était cependant pas annoncée, la ville n’était pas pavoisée comme à mon dernier voyage et c’est à peine s’il y avait quelques troupes rangées sur la place, quelques notables sur notre parcours. Le vieux curé[2] que j’avais décoré naguère[3] est mort, mort sans avoir vu son pays définitivement rendu à la France« , écrit Poincaré. Une visite de l’école a été très appréciée par Léon Bourgeois. Avant d’ajouter : « Nous sommes revenus déjeuner dans le train, à Montreux-le-Vieux, sur terre alsacienne, avec les généraux Villaret[4] et Demange[5], avec Messimy, qui commande maintenant près de Dannemarie, et avec Paul Morel, député de Vesoul, ancien sous-secrétaire d’État, mobilisé à Montreux« .
Visite du président Poincaré[6]. Devant la poste allemande incendiée le 13 août 1914. De droite à gauche, vétérans alsaciens médaillés de 1870, le curé alsacien auquel monsieur Poincaré tend la main[7], le maire avec l’écharpe française[8], le général de Villaret, le général Demange, le général de Contades[9], les enfants des écoles. On remarquera que l’inscription « Kaiserliches Postamt » a été arrachée et partiellement réutilisée pour créer le mot « Postes ».
Après déjeuner pendant que Léon Bourgeois se repose, le président Poincaré remet des décorations à des officiers et des soldats de la 10e division de cavalerie et des 24e et 30e corps d’armées. De nombreux habitants assistent à la cérémonie qui a lieu devant la gare. Les officiers se déplacent ensuite à Masevaux. Ils y visitent l’église, bientôt rejoints par de nombreuses familles. Poincaré mentionne dans ses Mémoires à cette date : « J’ai laissé 500 francs au maire pour les victimes d’avions allemands. Nous avons ensuite remonté la jolie vallée de la Doller jusqu’à Sewen. Nous nous sommes arrêtés aux usines de Niederbrück qui fabriquent désormais des obus et qui ont aussi reçu la visite des avions allemands. Nous revenons à Giromagny où nous visitons l’école des petits Alsaciens que le bombardement de Seppois a forcés à quitter leur village natal. Je laisse 1000 francs à Laurent-Atthalin[10], administrateur militaire pour les évacués. Je dîne dans le train en tête-à-tête avec Léon Bourgeois qui est ravi de son voyage« , conclut Poincaré.
[1] Léon Bourgeois, né le 29 mai 1851 à Paris et mort le 29 septembre 1925 au château d’Oger (Marne), est un homme d’État français.
Issu d’une famille modeste et républicaine, Léon Bourgeois intègre l’administration française en 1876, puis devient préfet du Tarn six ans plus tard. Élu député radical en 1888, il entame une longue carrière ministérielle quelques mois seulement après son élection à la Chambre des députés. Il devient alors un personnage éminent de ce régime parlementaire qu’est la IIIe République, puisqu’il est nommé ministre de l’Intérieur en 1890.
En 1895, il est nommé président du Conseil des ministres ; dirigeant un gouvernement exclusivement radical, il voit sa volonté d’instituer une politique de solidarité contrariée par le Parlement, et plus particulièrement par le Sénat. Démissionnaire, il reste cependant membre du gouvernement, chargé de portefeuilles régaliens comme les Affaires étrangères. Parlementaire aguerri, il est l’un des rares hommes politiques à avoir présidé les deux chambres du Parlement que sont la Chambre des députés, entre 1902 et 1904, et le Sénat, de 1920 à 1923.
Devenu en 1920 président du premier Conseil de la Société des Nations, Léon Bourgeois est également cette même année lauréat du prix Nobel de la paix.
[9] Erasme de Contades-Gizeux, commandant la 10e division de cavalerie.
[10] Le capitaine Laurent-Atthalin fut précédemment le premier administrateur du cercle de Dannemarie.
Grand anniversaire :
Madame Liliane Berche née Pfirsch une ancienne montreusienne fête aujourd’hui ses 87 ans. Joyeux anniversaire
EXERCICES PRUSSIENS. — Mercredi dernier vers midi, des officiers prussiens suivis d’une foule de curieux se rendaient de la gare de Montreux-vieux au pont de la rivière Saint-Nicolas entre Montreux-Vieux et Montreux-Château, pour y faire des expériences de guerre.
Ils firent sauter le pont avec de la dynamite et quelques heures après ils lavaient reconstruit.
Sources : La Petite France de l’Est, 9 avr. 1884, p. 3/4
Un individu peu recommandable.
— Le jour de Pâques un certain Asmus, vannier ambulant, accompagné de sa concubine, était venu chercher un logement chez Mme Rochat; il se prit de querelle avec celle dernière et quelques locataires et comme on voulut le faire décamper il se dressa contre tout le monde, distribuant des gifles et des coups de couteau à tous ceux qui rapprochaient. Mme. Rochat fut blessée ainsi que quelques autres personnes. Puis Asmus se sauva, mais il fut arrêté par la gendarmera qui avait été prévenue, à quelques kilomètres de la frontière suisse, derrière laquelle il voulait aller s’abriter. Asmus et sa compagne ont été écroués. Sources :L’Express de Mulhouse, 9 avr. 1926, p. 2/4
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