Le dimanche avant Pâques, l’Eglise commémore l’entrée du Christ à Jérusalem, au milieu des acclamations du peuple qui agitait sur son passage des palmes et des rameaux d’olivier. En cette journée dominicale, la célébration de la Grand’messe est précédée d’une procession et débute avec la bénédiction des rameaux.
Le culte des rameaux bénis
La coutume de la bénédiction des rameaux est encore bien vivante dans quelques villages du Sundgau. Bénis et appelés à conjurer les maladies ainsi que les esprits démoniaques, les bouquets de buis sont rapportés à la maison : on en suspend une tige au râtelier ou à la porte de l’étable, au toit de la ruche et au berceau du nouveau-né. La plus belle est placée à la tête du lit conjugal sur un bénitier ou sur un crucifix. En général, le buis est changé tous les ans. Heureux présage s’il reste longtemps vert ! Quand l’orage menace, l’aïeul trempe un petit rameau dans l’eau bénite et en asperge les murs de la maison et pour éloigner la foudre, on en jette dans le feu … De plus, dans le Sundgau, des rameaux de buis, de houx et de sapin, fixés à un bâton de plus d’un mètre avec rubans tricolores et portés par les enfants, sont bénis avant d’être placés dans les vergers ou les potagers où ils doivent attirer les forces de vie sur les plantations. Aux perches de buis bénis, on ajoute à Kappelen par exemple, une croix rustique ou des œufs vides et décorés, tandis qu’à Lutter, on plante sur la perche une betterave et qu’ailleurs ce sont des pommes … Enfin, au 19e siècle, à Kiffis, on plantait en terre une branche. Si elle prenait racine, un mauvais présage s’annonçait : cela signifiait que l’année serait mauvaise pour la famille. En revanche, si la branche dépérissait, cela annonçait un bonheur dans la maison ! Plus communément, on décore le crucifix de la « Stuwa » avec un rameau bénit.
Un couvreur en paille avec apprenti autrefois à Montreux-Vieux.
Dans les années 1850 exerçait au village un couvreur en paille le sieur Flotat François. Il avait fait une demande en décharge de la contribution des patentes pour le motif qu’en 1854 il n’aurait pas exercé cette profession et que par ailleurs il aurait toujours travaillé seul.
En date du 3 janvier 1855 le maire de Montreux-Vieux a adressé un courrier au contrôleur des Contributions directes confirmant que durant l’année 1854 il a bien exercé la profession de couvreur en paille avec apprenti. La requête de M. Flotat a de ce fait été rejetée.
Démarrage de la ligne Strasbourg – Montreux-Vieux.
21 mars 1890 : Le journal des transports: revue internationale des chemins de fer du 21 mars 1890 annonce le démarrage prochain d’une ligne directe de Strasbourg à Montreux-Vieux par Cernay ligne qui aura une grande importance stratégique et commerciale. Cette ligne n’a jamais été construite.
Amende pour offenses envers M. Scherrer, de Dannemarie.
Montreux-Vieux, 20 mars 1904. — On se rappelle que le maire de Montreux-Vieux, et Masson, rédacteur d’Altkirch, avaient été condamnés chacun à 100 Mark d’amende pour offenses envers M. Scherrer, de Dannemarie, membre du conseil d’arrondissement d’Altkirch. Les prévenus avaient demandé la révision de ce procès. La cour d’appel de Colmar vient de confirmer le jugement prononcé en deuxième instance.
Sources : Express 22 mars 1904
Don de la Ville de Paris et du Département de la Seine.
Séance extraordinaire du 20 mars 1918 de la commission municipale de Montreux-Vieux
Etaient présents : MM. Pierre Violard président; Jules Saunier, Emile Cuenin, Alphonse Besançon et Pierre Prevot, membres de la Commission municipale.
Le Président de la Commission municipale de la commune de Montreux-Vieux donne lecture aux membres de la Commission de la lettre de M. le capitaine de Moüy, administrateur du cercle de Dannemarie relative au don que la Ville de Paris et le Département de la Seine viennent de faire à la commune de Montreux-Vieux d’un tableau destiné à orner la salle de la mairie et de gravures pour les écoles. Sur la proposition du Président, la commission municipale adopte à l’unanimité la résolution suivante : Le Président de la Commission municipale de la commune de Montreux-Vieux est chargé de vouloir bien prier M. le Préfet de la Seine de transmettre au Conseil municipal de la Ville de Paris et au Conseil général de la Seine ses remerciements les plus sincères pour les œuvres d’art qu’ils viennent d’offrir à la commune de Montreux-Vieux.
C’est avec émotion que la Commission municipale reçoit ce tableau et ces gravures qui représentent l’une des places de la Ville de Paris et des scènes patriotiques et qui rappelleront aux enfants des écoles et à la population de Montreux-Vieux toute la sympathie et tout l’intérêt que la capitale de la France porte aux communes de l’Alsace rendue à la mère patrie.. « Ainsi délibéré les jour, mois et an que dessus, »
19 mars 1932 conseil municipal de Montreux-Château statuant sur la demande de la commune de Montreux-Vieux, qui réclame 505 francs pour prix de la participation de son corps de sapeurs-pompiers a l’extinction de l’ incendie de la maison Rossat estime que celte demande paraît exagérée et offre la somme de 100 fr.
Sources : Le Républicain de Belfort 19 mars 1932
Le saviez-vous ? Un voyageur de commerce peu _ Le service de te sûreté a arrêté le nommé Wauukcm, âgé de 20 ans, se disant voyageur en confiserie, demeurant 36 rue des Ecoles, à Montreux-Vieux, au moment où il offrait du cuivre en vente à un brocanteur de la ville. Pour de la confiserie, ç’est de te drôle de confiserie ! Ce cuivre consistait en poignées dé portes, mains courantes, robinets à eau, becs de gaz, appareils de suspension d’éclairage. Ces divers objets proviennent de vols dans te maison Laible, ancienne maison de transports à Montreux-Vieux, maison séquestrée.
Mademoiselle Elisabeth Wioland, décédée le 18 mars 2019
COUR D’ASSISES.
18 mars 1910 Chronique judiciaire COUR D’ASSISES : Audience du 18 mars Le garde forestier Jacques-Jules Resz, de Chavannes-sur-l’ Etang, est accusé d avoir le 21 octobre 1909, dans l’exercice; de ses fonctions, maltraité volontairement le sieur Charles Lucien Arnoux et d’avoir par ses faits provoqué sa mort.
Pendant une battue que M. W. Laible, expéditeur de Montreux-Vieux, avait organisée dimanche le 27 octobre dans la forêt do Willern, un des truqueurs rencontra un individu couché sur un sac rempli d herbes sèches. M. Laible averti, vint voir l individu et l’interrogea sur sa présence dans la forêt. L’ individu fit des réponses évasives. Il avait dans sa poche un livret militaire français au non de Charles-Lucien Arnoux, de Rosières (Doubs), mais M. I.aibl e avait compris qu’il se disait être Russe. Comme le tsar avait passé la veille A Montreux Vieux et que le train impérial devait revenir par la même voie le lendemain, M. W. Laible conçut des soupçons et vit dans Arnoux un anarchiste projetant un attentat contre le souverain russe. Il appela le garde forestier Resz et lui donna l’ordre de conduire l’étranger A la station de gendarmerie do Montreux». Resz accepta la mission et déclara A Arnoux en français
Qu’il l’arrêtait au nom de la loi lui: signifiant qu’il tirerait sur lui à la moindre tentative de fuite. Arnoux suivit d’abord le garde sur la route de Magny, mais bientôt fit un crochet pour s’enfoncer dans la forêt, malgré les efforts de Resz. Ce dernier prétend qu’à ce moment Arnoux l’a assailli en le frappant avec une bouteille à moitié pleine et que de cette façon le prisonnier est parvenu à fuir. Comme il ne s’était pas arrêté aux trois sommations du garde, celui-ci a tiré et la charge de plombs a atteint à la cuisse Arnoux qui a succombé deux jours plus tard A l’hôpital do Mulhouse. La blessure avait provoqué une inflammation aiguë des tissus cellulaires et une infection générale. Resz allègue que, chargé à la surveillance de la voie à l’occasion du voyage du tsar, il avait mission d’arrêter les individus suspects et de les conduire à la gendarmerie. Le jury répond affirmativement à la question de coups et blessures ayant occasionné la mort et à celle des circonstances atténuantes. Resz est condamné à 4 mois de prison.
Sources : Express 19 mars 1910
Inauguration d’une plaque sur la tombe de Joseph Rossé.
C‘est incroyable ce qu‘un bon week-end peut faire. Après deux semaines compliquées au travail, je savais que j‘avais besoin de m‘évader et d‘être dans la nature. Mon compagnon et moi avons décidé de prendre un long week-end et de séjourner dans une cabane dans les bois. Nous avons fait nos valises après le travail le vendredi et nous sommes partis en voiture dans la campagne, en passant par des champs pleins de chevaux, de vieilles fermes et des petites villes pittoresques. C‘était un trajet idyllique. Finalement, nous sommes arrivés à destination et avons vidé la voiture. Nous étions impatients de préparer un dîner simple et de nous détendre près de la cheminée.
Le samedi 18 mars 2017 à 1 5h 30, le Cercle Joseph Rossé a donné rendez vous à ses amis à Colmar au cimetière du Ladhof, mur Nord tombe 348 pour l’inauguration publique de la plaque qui a été apposée sur la pierre existante. Une réunion en salle s’en est suivie. https://montreux-vieux.net/?page_id=4730
C‘est incroyable ce qu‘un bon week-end peut faire. Après deux semaines compliquées au travail, je savais que j‘avais besoin de m‘évader et d‘être dans la nature. Mon compagnon et moi avons décidé de prendre un long week-end et de séjourner dans une cabane dans les bois. Nous avons fait nos valises après le travail le vendredi et nous sommes partis en voiture dans la campagne, en passant par des champs pleins de chevaux, de vieilles fermes et des petites villes pittoresques. C‘était un trajet idyllique. Finalement, nous sommes arrivés à destination et avons vidé la voiture. Nous étions impatients de préparer un dîner simple et de nous détendre près de la cheminée.
Le 17 mars 1820 une réunion extraordinaire s’est tenue sous la présidence du Maire Patat qui donne connaissance au conseil municipal de l’horrible assassinat du Prince Auguste famille des Barbon.
Né à Versailles le 24 janvier 1778, Charles Ferdinand d’Artois, duc de Berry, est le fils puîné de Marie-Thérèse de Sardaigne, plus connue sous le nom de Marie-Thérèse de Savoie, et du comte d’Artois, frère cadet de Louis XVI et de Louis XVIII, et futur Charles X. En 1789, le duc émigre avec son père et, de 1792 à 1797, il sert dans l’armée de Condé, avant de passer en Angleterre. Il y épouse Amy Brown, fille d’un pasteur de petite noblesse, dont il a deux filles, Charlotte, née le 13 juillet 1808, et Louise, née le 19 décembre 1809. Après l’abdication de l’empereur Napoléon Ier, il rentre en France le 13 avril 1814. Pendant les Cent-Jours, il suit son oncle le roi Louis XVIII en exil à Gand. Il est de retour après Waterloo. Le 17 juin 1816, il épouse à Notre-Dame Marie-Caroline de Bourbon-Sicile (1798-1870). De vingt ans sa cadette, elle est la fille de François Ier, roi des Deux-Siciles (1777-1830) et de Marie-Clémentine d’Autriche (1777-1801), fille de l’empereur d’Autriche Léopold II et nièce de la reine Marie-Antoinette.
Le 13 février 1820, le duc de Berry est poignardé à la sortie de l’Opéra de la rue de Richelieu par un ouvrier sellier bonapartiste, Louis Pierre Louvel, qui avoua avoir eu pour but de « détruire la souche des Bourbons ». Le duc était en effet le seul homme de la famille royale susceptible d’assurer une descendance à la dynastie fondée par le roi Henri IV. Le 29 septembre 1820, la duchesse de Berry donne néanmoins le jour à un fils posthume prénommé Henri, en souvenir du premier des Bourbons, et Dieudonné. La ferveur populaire parle alors de « l’enfant du miracle », suivant l’expression d’Alphonse de Lamartine
La mort du duc de Berry fut lourde de conséquences. Il était le dernier héritier en ligne directe de la dynastie des Bourbons, et tous les espoirs de Louis XVIII et du futur Charles X reposaient sur son éventuelle descendance mâle. En perpétrant son crime, Louvel souhaitait « éteindre la race » honnie, mais son geste fatal fut inutile puisque, sept mois plus tard, la duchesse de Berry donnait naissance à Henri-Dieudonné, duc de Bordeaux et comte de Chambord. Néanmoins, les suites politiques de l’assassinat furent immédiates.
Premier ministre de Louis XVIII depuis novembre 1819, le duc Élie Decazes de Glücksberg (1780-1860) menait une politique libérale qui lui attirait les foudres des royalistes ultras. Ils le rendirent responsable du crime et le contraignirent à démissionner. « Le pied lui a glissé dans le sang », commenta Chateaubriand avec ironie. Le duc de Richelieu, son successeur, mit alors en œuvre une politique de réaction systématique : suppression des libertés individuelles et de la liberté de la presse, rétablissement de la censure et de l’autorisation préalable pour fonder un journal. La réforme électorale de 1820 brisa les espoirs des libéraux qui s’enfermèrent dans une sourde opposition clandestine. Les Trois Glorieuses et l’avènement de Louis-Philippe écartèrent définitivement les Bourbons du pouvoir.
Le petit duc de Bordeaux suivit Charles X en exil. La tentative de soulèvement, fomentée en 1832 par la duchesse de Berry pour le faire proclamer roi, sous le nom d’Henri V, fut un humiliant échec. Après la chute du second Empire en 1870, le comte de Chambord ne sut pas saisir l’occasion qui lui était offerte de restaurer la monarchie. Il mourut en exil le 24 août 1883. Sources: https://www.histoire-image.org/fr/etudes/assassinat-duc-berry-0
16 mars 1830 : Le 16 mars 1830 d’autres moyens sont proposés au Préfet pour la construction du presbytère : La vente de 40 ares de pré lieu-dit “Au Baitay” délimité de levant et midi par la rivière et plusieurs particuliers de minuit estimé à la somme de 1 200 F
La cession de 16 ares de champs lieu-dit “Les Planches du Breuleux” profond de midi par Henri Cuenin et jeune et Henri Schalie de minuit estimé à 350F
La vente d’environ 5 ares de terrain lieu-dit “Les Planches” enclavé entre le chemin communal de levant à midi André Greber et couchant Gaspard Denis Jolidon de minuit estimé à 156 F.
Le montant total s’élève à 1 706 F plus 4 221 F en caisse et lire: qui devraient suffire pour la construction d’un “médiocre” presbytère selon nos petits moyens
Fixation de tarifs.
16 mars 1831 : Réuni en session le 16 mars 1831 le conseil municipal a fixé les tarifs pour la mise en état des chemins comme suit
la journée d’homme à 2,50F
la journée de bête de trait à 2,50F
la journée de voiture et charrette à F
D’autres prix ont été définis en 1837 comme par exemple
le ramonage et chargement de pierres F
le transport par voiture d’un M3 de terre, gravier etc… 50 cts jusqu’à une distance de 100m, ensuite 50 cts par 100m
le déblai à la brouette à une distance de 20m 60 cts
le cassage d’un m3 de pierre 75 f
le terrassement pour ouvrir des fossés de 66 centimètres de largeur sur 50 cts de profondeur 8 cts par 1 mètre de longueur
étendue par m3 de pierre 25 cts
Naissance de Giovanoli Fritz.
Né le 16.3.1898 à Montreux-Vieux (Alsace), décédé le 26.6.1964 à Berne, Giovanoli, Fritz, conseiller d’Etat en Suissede Frasnacht (aujourd’hui. comm. Arbon). Fils d’Adolf, commerçant, et de Johanna Wassermann. https://montreux-vieux.net/?page_id=17374
L’AEROPLANE DE MONTREUX-VIEUX.
16 mars 1914 L’AEROPLANE DE MONTREUX-VIEUX. — Le caporal-pilote Mudon et le sapeur Coulonge, du centre de Belfort, qui montaient l’aéroplane aperçu l’autre jour au-dessus de Montreux-Vieux, à plus de 1.000 mètres d’altitude, ont expliqué leur erreur. Forcés de traverser un épais nuage de neige, ils dépassèrent la ligne frontière sans s’en apercevoir. Les autorités allemandes établirent un rapport qui fut transmis à Belfort. Les deux aviateurs ont été punis Sources : Express 16 mars 1914
L’Aéroplane de Montreux-Vieux Belfort, 15 mars. —- L’aéroplane aperçu jeudi au-dessus de Montreux-Vieux, venant de Belfort, était monté par le caporal Madon et le sapeur Coulonge, tous deux du centre de Belfort. Ils avaient eu à percer, dans leur voyage aérien, un nuage de neige. Dès qu’ils s’aperçurent de leur erreur, ils virèrent pour rentrer en France. Néanmoins, une punition leur a été infligée. Sources : Le Petit Marseillais, 16 mars 1914, p. 5/7
P.V pour non présentation de la patente.
16 mars 1921 MONTREUX-VIEUX. La normée Chassard Marie , marchande ambulante, avant omis de se munir d une patente, a rencontré les gendarmes A Montreux-Vieux qui lui ont rappelé cette obligation par un procès-verbal. Sources : Express de Mulhouse 16 mars 1921
Grand anniversaire
Madame GEISS Jacqueline fête aujourd’hui ses 91 ans.
Ouverture de la Boucherie Arnold. Sources Le Républicain du Haut-Rhin, 16 mars 1951, p. 8/10
Madame Greter Anne dite Annette Beck, décédée le 15 mars 2020.
Un chasseur tué d’une balle dans la tête.
15 mars 1909 Hier après-mid 15 mars 1909 , à Chavannes-les-Grands, deux cultivateurs, MM. Rosse et Henrissot, chassaient au canard sur l’extrême frontière, avec le domestique de M. Rosse, nommé Bélàrd, lorsqu’à un certain moment, ce dernier, s’étant trouvé séparé des deux premiers, ceux-ci entendirent un coup dé feu. Supposant qu’il avait tiré sur le gibier, ils se dirigèrent vers l’endroit d’où le coup était parti et trouvèrent, à 50 mètres sur le territoire annexé, lé cadavre de Bélard, tué d’une balle à la tête, et ayant encore à la main son fusil chargé de deux coups ̃̃
Les soupçons se portèrent’ sur un garde chasse allemand que les deux cultivateurs avaient aperçu dans ces parages un peu auparavant: Le parquet se rend ce jour à Chavannes pour r ouvrir une enquête.
Deux aviateurs militaires punis.
15-03-1914 Deux aviateurs militaires punis
Une dépêche de Berlin ayant signalé qu’avant hier un monoplan venant de Belfort avait volé au-dessus du village de Montreux-Vieux (Alsace) voici un sujet de cet incident quelle est la vérité.
Mercredi, à 4 heures de l’après-midi, un avion militaires, monté par le caporal Madon et le sapeur Coulonge, tous deux du centre de Belfort ont franchi la frontière et ont évolué au-dessus de l’Alsace, à une hauteur de 200 mètres. Ils avaient eu, parait-il à percer un nuage de neige et s’étaient trouvés, à leur insu, au-delà de la frontière.
Aussitôt l’erreur reconnue, ils virèrent et passèrent au-dessus de Montreux-Vieux pour rentrer en France.
Un rapport allemand fut aussitôt établi. Une punition a été infligée aux deux aviateurs. On est moins pressé en Allemagne
Naissance de Joseph Rein.
15 mars 1928 Naissance à Hagenbach de Joseph Rein, ancien chef des Sapeurs-Pompiers
Création de la section UNC AFN.
15 mars 1973 Création de la Section UNC AFN le 15 mars 1973 regroupant plusieurs communes
Madame Fabro née Cartis Maria, décédée le 14 mars 2003.
Construction du presbytère.
Le 14 mars 1824 pour la construction d’un presbytère la commune vend un terrain pour environ 2 970F . Une partie de celui-ci se situe dans le réservoir du Canal Monsieur.
Le 13 mars 1832 L’adjudication pour prendre les taupes durant l’année 1834 a été attribuée au sieur Jean Pierre Quiquerez de Chavannes sur l’Etang pour 54f
Décès de Heinrich Libmann.
13 mars 1944 décès de Heinrich Libman né le 9 juin 1915 et décédé le 13 mars 1944, C’est sur recommandation du Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge (VDK), le service pour l’entretien des sépultures militaires allemandes qu’ils ont pu effectuer la recherche de Heinrich Libman né le 9 juin 1915 et décédé le 13 mars 1944,
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