Enfin, on me télégraphie, aujourd’hui même de Mulhouse qu’un jeune Mulhousien incorporé il y a un mois dans un régiment en garnison à Mayence était parvenu à fuir; mais arrête à Montreux-Vieux, dans le train en partance pour Belfort, il a été ramené à Mulhouse menottes aux mains.
Sources : 8 novembre 1889