Jolidon François, ingénieur retraité
11 octobre 1825 né à Montreux-Vieux (Haut-Rhin) JOLIDON (François-Auguste) fonctions d’ingénieur ordinaire retraité en 1886 http://montreux-vieux.net/?page_id=5158
Un fou s’évade
11 octobre 1920 Un fou s’évade et est réintégré. Le nommé Soehulen Jean, de Montreux-Vieux, évadé de l’ Asile d aliénés de Rouffach, s’était présenté dans une famille de la rue de la station où deux agents sont venus le cueillir et l’ont conduit à l’hôpital civil, en attendant sa réintégration à Rouffach. Sources : L’Express 11 octobre 1920
Un officier noyé
11 octobre 1921 Montreux-Vieux, 11 oct. — Trois officiers français, de Belfort, chassaient, hier matin, le canard sauvage, près du village de Montreux-Cbàteau, à proximité de la frontière allemande. La pluie avait transformé en torrents tous les cours d’eau et inondé les prés sur lesquels s’abattaient les canards. Les trois officiels pataugeaient dans l’eau. L’un d’eux s’étant éloigné de ses camarades, ne reparut plus. On le chercha en vain pendant toute la journée.
On a retrouvé enfin son cadavre cette après-midi. Il s’était enfoncé dans une mare d’où il n’a plus pu se dépêtrer et où il s’est noyé. On nous écrit que l’officier qui a si malheureusement péri est le lieutenant Pugens, du 138* régiment de ligne. On a retrouvé le corps à l’endroit même où il avait coulé à fond, entre Montreux-Château et Novillars, dans une carrière remplie d’eau. L’officier aurait pu se sauver s’il ne s’était pas embarrassé dans un buisson, dans lequel on l’a trouvé pris, les bras écartés. Il a fallu lui briser les bras pour le mettre en bière. Sources : Express 13 octobre 1901
Dans l’arbre
Dans l’arbre — Samedi, vers 13 h. 30, une automobile, pilotée par M. Moulin, représentant de la Société la Jeanne d’Arc de Montreux-Vieux, descendant en direction de Belfort, est rentrée dans un arbre sis en bordure de la route nationale numéro 465, à peu près à deux cents mètres en amont du chemin dit de Belle vue.
L’avant de l’auto fut défoncé et le conducteur fut blessé à la tète par la glace du pare-brise ; il a une fracture du nez et des contusions multiples.
Le blessé reçut des soins éclairés de M. le Docteur Braun, de Giromagny, mandé d’urgence, et put regagner son domicile à Montreux-Vieux par ses propres moyens. Et quant à l’automobile, elle a été tirée de sa fâcheuse position par un camion de dépannage.
Sources : Le Républicain de Belfort 11 octobre 1933