Incendie à Montreux-Vieux
14 juin 1850 Incendie à Montreux-Vieux. Les flammes ne laissent des maisons de Pierre Poivre et Jean Pierre Charmois que des murs calcinés.
Trafics de marchandises
14 juin 1888 Alt-Munsterol (Montreux Vieux). — On nous écrit : Le nombre des trains de marchandises qui nous arrivent de France a augmenté, tandis que le service des voyageurs a diminué. La laine et les écorces d’arbre particulièrement passent en grande quantité ; presque chaque convoi amène trente-cinq à quarante wagons chargés de cette dernière marchandise. Lee trains réguliers ce suffisant pas toujours et l’on est obligé souvent d’en organiser de supplémentaires. Ces convois sont dirigés directement sur Mulhouse. Sources Express 14 juin 1888
Des poteaux de douanes arrachés
14 juin 1892 BELFORT, 14 juin.- Des poteaux allemands de la douane et de la frontière ont été arrachés et jetés dans la rivière, entre Montreux-Vieux et Montreux-Château.
Les poteaux-frontières se composent; d’une colonne de fonte de trois mètres de hauteur sur dix centimètres de diamètre, scellée dans une pierre de taille et surmontée d’un disque blanc de quarante centimètres de diamètre, bordé de rouge et portant en noir l’aigle impériale et l’exergue «Deutsches Reich ». Les poteaux douaniers supportent une plaque carrée émaillée blanc avec le mot « zollamt » (douane). Sources : Le Figaro 15 juin 1892
Double contravention
14 juin 1927 Double contravention. Les gendarmes ont verbalisé le cycliste Meyer Emile. 17 ans mécanicien à Montreux Vieux (Haut Rhin) pour défaut. a sa machine. de plaque d’identité et appareil sonore. Sources : Le Républicain de Belfort 13 juin 1928
On joue du couteau
14 juin 1927 MONTREUX-VIEUX. — On joue du couteau. — Un garçon de café, M. Oscar Messner, en service au café Schinlie, voulut l’autre soir faire sortir de rétablissement une femme dont les idées commençaient à ne plus être très licites. Mais la pocharde avait des cavaliers servants, et le pauvre Oscar en sut quelque chose. En effet au cours de la bagarre qui suivit, le garçon de café reçut au bras droit un violent coup de couteau dont il ne put établir l’origine. Les gendarmes seront peut-être plus malins que lui. Sources : Express de Mulhouse 14 juin 1927